La Librairie Olympique et Tempo-philo
proposent
dans le cadre du printemps des poètes 2010
un cycle de 6 conférences
entre octobre 2009 et mars 2010
à la Librairie Olympique
de 19h30 à 21h30
VIE-PENSEE
La pensée de Deleuze est une création conceptuelle
sous-tendue par des rythmes de vie,
des puissances du corps, des devenirs intensifs, des vibrations de l'esprit.
Il s'agit d'être à la rencontre de l'art
quand sa vocation est la capture des forces vives
qui "affolent notre perception-conscience ordinaire",
comme l'expérimente et l'expose H. Michaux dont l'importance est considérable pour l'auteur de Différence et répétition et de Mile-plateaux.
D'une vie de flux aux intensités différentielles,
selon un Corps sans organe (Artaud), non réduit à l'organisme;
l'art se pose en découvrant la puissance d'un impersonnel:
une singularité au plus haut point,
une troisième personne qui nous déssaisit du pouvoir de dire Je. Blanchot)
C'est un devenir intempestif (Nietzsche), puissant, -trop puissant?-
Les forces créatrices peuvent atteindre à une vision qui emporte,
élève le devenir à une puissance voyante (Deleuze).
Penser, écrire, peindre, composer une musique
sont inséparables de ce type de devenir...
quelque chose passe, débordant toute matière vécue.
Devenir n'est pas atteindre à une forme, mais, comme le soutient Deleuze,
c'est trouver une zone de voisinage, zone d'indiscernabilité ou d'indifférenciation.
il y va non pas de l'imprécis mais de l'imprévu,
et même de l'événement inattendu, de l'hétérogène.
C'est un passage de vie qui traverse le vivable... selon des zigzags fulgurants
Jeudi 15 octobre
F. Nietzsche: Variations de Zarathoustra à Dionysos
- le devenir intempestif
tempo.philo@live.fr
laforgefabrice@hotmail.fr
proposent
dans le cadre du printemps des poètes 2010
un cycle de 6 conférences
entre octobre 2009 et mars 2010
à la Librairie Olympique
de 19h30 à 21h30
VIE-PENSEE
La pensée de Deleuze est une création conceptuelle
sous-tendue par des rythmes de vie,
des puissances du corps, des devenirs intensifs, des vibrations de l'esprit.
Il s'agit d'être à la rencontre de l'art
quand sa vocation est la capture des forces vives
qui "affolent notre perception-conscience ordinaire",
comme l'expérimente et l'expose H. Michaux dont l'importance est considérable pour l'auteur de Différence et répétition et de Mile-plateaux.
D'une vie de flux aux intensités différentielles,
selon un Corps sans organe (Artaud), non réduit à l'organisme;
l'art se pose en découvrant la puissance d'un impersonnel:
une singularité au plus haut point,
une troisième personne qui nous déssaisit du pouvoir de dire Je. Blanchot)
C'est un devenir intempestif (Nietzsche), puissant, -trop puissant?-
Les forces créatrices peuvent atteindre à une vision qui emporte,
élève le devenir à une puissance voyante (Deleuze).
Penser, écrire, peindre, composer une musique
sont inséparables de ce type de devenir...
quelque chose passe, débordant toute matière vécue.
Devenir n'est pas atteindre à une forme, mais, comme le soutient Deleuze,
c'est trouver une zone de voisinage, zone d'indiscernabilité ou d'indifférenciation.
il y va non pas de l'imprécis mais de l'imprévu,
et même de l'événement inattendu, de l'hétérogène.
C'est un passage de vie qui traverse le vivable... selon des zigzags fulgurants
Jeudi 15 octobre
F. Nietzsche: Variations de Zarathoustra à Dionysos
- le devenir intempestif
tempo.philo@live.fr
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